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Démagogie électorale.

Malgré l’augmentation des cas de Covid-19, « il n’y a pas de danger à aller voter à la présidentielle » , déclare l’exécutif.

À quelques  jours du premier tour de l’élection présidentielle, la hausse des cas de Covid-19  inquiète les épidémiologistes. Mais le gouvernement se veut rassurant. « Il n’y a pas de hausse des admissions en soins critiques », selon l’exécutif.

L’OMS critique plusieurs pays européens, dont la France, pour avoir levé « brutalement » les mesures anti-Covid.

Depuis plusieurs semaines, la France fait face à une flambée des cas de Covid-19. Mercredi, la barre des 200.000 cas a même été franchie.

La circulation du virus est facilitée par la levée des restrictions et le relâchement des gestes barrières. Il y a aussi des cas de réinfection rapide, seulement quatre à six semaines entre deux contaminations.

« Les personnes qui seraient contaminées au Covid-19 dans les jours précédant le vote pourront aller voter », a expliqué le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal. Aucun pass sanitaire ou vaccinal ne sera demandé.

La recommandation du port du masque est un « appel à la responsabilité individuelle », a précisé le porte-parole.

Outre les personnes récemment testées positives, le masque sera aussi recommandé pour les personnes immunodéprimées, âgées, malades chroniques ou fragiles, les personnes symptomatiques et les cas contacts à risque, liste le ministère de l’Intérieur dans un communiqué.

Faut-il porter un masque en Italie ?

Les autorités italiennes imposent le port du masque FFP2 dans tous les moyens de transport en Italie, y compris les avions.

Le port d’un masque FFP2 est obligatoire dans les cinémas, théâtres, salles de concert et pour les événements sportifs. Il en va de même pour les moyens de transport (trains, avions, ferries mais aussi bus, tramways et métro et tous les transports publics locaux).