Un obèse à l’Elysée.
Dîner d’État oblige, le menu qui a été servi au château de Versailles, au roi Charles III, à la reine Camilla et aux 150 invités, n’était pas ordinaire. Les plus grands chefs ont été sollicités pour le préparer. Voici le menu qui leur a été proposé : Entrée : Homard bleu et tourteau de casier avec un voile d’amandes fraîches et de la menthe-coq. Plat : Volaille de Bresse au parfum de maïs avec un gratin de cèpes. Fromage : Comté de trente mois, bûche de chèvre et stilchelton (un fromage bleu anglais). Dessert : Biscuit Ispahan – une création de Pierre Hermé – revisité à base de macaron rose assorti d’un sorbet au litchi. Ces différents plats ont été servis dans un service Duplessis aux oiseaux de la manufacture de Sèvres et les boissons dans des verres en cristal de Baccarat.
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Un coureur cycliste à l’Elysée.
Ces routes et cols de montagne sont régulièrement empruntés par le Tour de France et attirent chaque été les cyclistes du monde entier.
Le col de Granon (2 404 m). Le Portet d’Aspin (1489 m) Le col du Grand Colombier (1498 m) Le Col de Peyresourde (1569 m) Le col de l’Alpe d’Huez (1803 m) Le mont Ventoux (1912 m) Le Col de la Croix de Fer (2067 m) Le col du Tourmalet (2115 m) Le col d’Izoard (2360 m) Le col du Galibier (2642 m) Le col de l’Iseran (2770 m) Le col de Granon (2 404 m). Col du Granon : Le col du Granon, est un col des Alpes françaises dans le département des Hautes-Alpes.
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Les Roses du parachutiste.
Il était là, debout, son calot d’une main. De l’autre un bouquet de fleurs, des roses. A ses pieds, sur la terre fraîchement remuée Son meilleur ami, un noir, dormait pour toujours, le corps disloqué. Deux jours auparavant, son parachute s’était mis en torche, Et les 800 mètres qui le séparaient du sol, N’avaient pas duré 20 secondes. Juste le temps de dire une prière. Sa famille, il y avait longtemps Qu’il n’en avait plus de nouvelles. Peut-être est-ce pour ça Qu’on l’enterra comme un chien Juste un trou, pas même une croix. Et lui il était là, debout Son calot d’une main et de l’autre Un bouquet de fleurs, des roses. Ses lèvres murmuraient une prière J’avais vu le signe de croix, Puis, sur la terre fraîchement remuée, Il déposa les roses en forme de croix. Et de ses yeux, deux larmes Coulèrent sur ses joues.
Robert Millot.
Son témoignage : « Alors que j’assistais à un entraînement de parachutistes sur la base, j’ai observé avec effroi à la chute brutale d’un militaire dont le parachute ne s’était pas ouvert. Je garde en mémoire le bruit insoutenable du corps arrivant au sol alors que je me trouvais au moins à 100 mètres du lieu d’impact. Nul doute que cette vision m’inspira un peu plus tard à écrire le poème « Les Roses du parachutiste ». Autre élément réel, la victime était un africain que je cite dans mon poème. Je me suis identifié au soldat qui dépose les roses en forme de croix, un transfert nécessaire de ma personne qui m’a sans doute permis d’évacuer en partie le choc émotionnel ressenti au moment de l’accident » .
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Saint Homobonus de Crémone.
Naissance : XII ème siècle à Crémone, Italie Décès : 13 novembre 1197 à Crémone Nom de naissance : Omobono Tucenghi Nationalité : Italien Canonisation : 12 janvier 1199 par Innocent III
Fête 13 novembre. Homobon de Crémone (en latin Homobonus), né au début du XII ème siècle à Crémone en Italie et mort dans la même ville en 1197, est un tailleur et marchand reconnu saint par l'Église catholique. Il est le patron des tailleurs et fêté le 13 novembre. Homobon n'est pas son nom, mais seulement son surnom, qui signifie « brave homme ». Homobon avait hérité de son père, un tailleur et un marchand prospère. Il exerçait son métier avec une scrupuleuse honnêteté et pratiquait régulièrement l'aumône aux pauvres. Il mourut le 13 novembre 1197, en méditation devant le crucifix de l'église St-Gilles où il allait prier quotidiennement. Deux ans seulement plus tard, le pape Innocent III le canonisait, à la demande pressante des habitants de Crémone qui le considéraient comme Père des Pauvres, Consolateur des affligés, Homme de paix.
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Un ochlophobe à l’Elysée.
Ochlo, en grec, signifie la foule.
L'ochlophobie est la peur de la foule, au sens physique, d'une peur de mourir écrasé par elle. On la soigne à l'aide d'hypnose, de réalité virtuelle… La plupart des ochlophobes vivent en évitant les foules. L'ochlophobe éprouve un sentiment de peur lorsqu'il se retrouve entouré d'une foule qui lui apparaît comme compacte, dense, le mettant sous pression (pression des regards des autres). L'ochlophobe mettra en place des tactiques d'évitement, pour tout simplement ne pas se retrouver dans les situations « à risque ».
Diagnostic : L'ochlophobe se rend compte de lui-même de sa peur, étant le premier à la ressentir sous toute sa puissance. Afin de confirmer son ressenti il pourra en discuter avec un psychologue, capable de soulager sa peur, apporter des solutions pour vivre avec ou même s'en débarrasser par des thérapies comportementales.
Les facteurs de risques : Situations traumatisantes, vécues dans l'enfance, ou adulte (on pense aux victimes d'attentats par exemple, où leur peur de la foule se retrouve concrète).
Les symptômes de l'ochlophobie : Angoisse, accélération du rythme cardiaque, Attaque de panique, Peur de mourir, sentiment de danger imminent, Sentiment de perdre son corps, Nausées, malaises.
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