Je pars, je pars, je pars !
J’en ai assez de toutes ces accusations, ces critiques sur ma gestion de la mort de N…. On ne m’aime pas, c’est sûr ! Pauvres français, je vous laisse entre les mains de Jean-Luc Cornichon et de Marine La Peine.
Manuel Macaron.
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Censure des réseaux sociaux.
Censure des réseaux sociaux, couvre-feux et blindés : poursuite l’escalade répressive.
Evoquant « l’intoxication aux jeux vidéos » des jeunes comme cause des « violences », Macron a annoncé le « le retrait des contenus les plus sensibles en lien avec les plateformes » des réseaux sociaux.
« Nous prendrons dans les prochaines heures plusieurs dispositions comme le retrait des contenus les plus sensibles en lien avec ces plateformes [réseaux sociaux] ».
Accusées d'amplifier les violences urbaines en permettant la diffusion massive d'images d'émeutes dans toute la France, les plateformes comme Snapchat, Tiktok ou Twitter sont dans le viseur du gouvernement. Les autorités intiment aux réseaux sociaux de mettre fin à la diffusion massive de la flambée de violence qui touche le pays depuis la mort, mardi à Nanterre, du jeune Nahel.
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La mort du pou.
De calotte en redingote De boulotte en maigriotte Le Pou trotte Picote Gigote
De Parpaillote en Iscariote Pelote, Culottes Camelote, Menottes De Vieillotte en Cocotte Mascotte, Despote Ou Patriote Le Pou S’emberlificote !
Puis, un jour, Tête de Linotte, Le Pou capote Dans une compote !
Andrée Chedid (1920-2011).
Andrée Chedid née le 20 mars 1920 au Caire (Sultanat d'Égypte) et morte le 6 février 2011 à Paris 15e (France), est une femme de lettres et poétesse française d’origine syro-libanaise. Elle publie son premier roman en 1952 et écrit des nouvelles, des poèmes, des pièces de théâtre, des romans, et de la littérature jeunesse. Elle déclare son humanisme entre autres avec son livre " Le Message ", en 2000, en décrivant sa colère envers la guerre et la violence, à travers deux amants séparés par des guerres. Les héroïnes de ses œuvres sont décidées, prêtes à tout pour atteindre leur objectif.
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La chanson « Quand tu dors près de moi… » est interprétée par Yves Montand. Les paroles de cette chanson langoureuse ont été écrites par la romancière Françoise Sagan. La musique est tirée de la Symphonie No.3 de Brahms. Françoise Sagan, de son vrai nom Françoise Quoirez, est une écrivaine française, née le 21 juin 1935 et décédée en septembre 2004. Souvent considérée comme faisant partie de la Nouvelle Vague, elle a aussi contribué à la co-écriture de scénarios et de dialogues de films. Alors que sa vie privée défraie la chronique mondaine et judiciaire qui dépeint « un charmant petit monstre », elle est surtout connue pour sa « petite musique » mélancolique au ton nonchalant dans ses œuvres aux thèmes romantiques mettant en scène la bourgeoisie riche et désabusée, comme dans son roman le plus célèbre, Bonjour tristesse (1954). La solitude est un thème cher à Sagan. Les personnages de Sagan sont essentiellement seuls, mais ils ne font pas un drame de leur angoisse existentielle.
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Nino Ferrer (1934-1998).
C'est
en 1965 que Nino Ferrer connaît la gloire grâce à ce fameux pique-nique accompagné
de quelques cornichons... Le 13 août 1998, le chanteur français Nino Ferrer se donnait la mort. Ce solitaire au caractère entier avait noué avec le succès au milieu des années 60 grâce à un chien, « Mirza », dont la quête entêtée avait amusé le public francophone. Ce comique loufoque et absurde deviendra très vite une marque de fabrique. Il assurera le succès du chanteur.
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Mon manège à moi c'est toi.
Tu me fais tourner la tête Mon manège à moi c'est toi Je suis toujours à la fête Quand tu me tiens dans tes bras Je ferais le tour du monde Ça ne tourn'rait pas plus qu'ça La Terre n'est pas assez ronde Pour m'étourdir autant qu'toi…
Mon manège à moi (tu me fais tourner la tête) est une chanson d'amour, composée par Norbert Glanzberg, avec des paroles de Jean Constantin, pour la musique du film « Mon oncle » de Jacques Tati de 1958. Sa reprise par Édith Piaf en 1958 en fait un des classiques emblématiques de son répertoire, et de la chanson française.
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La kératophobie de Mac-Aron.
Kératophobie : peur des ongles, des griffes, des cornes.
Etymologie : du grec ancien κέρας (« corne ») et phobie (« peur »).
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Jean Ferrat : L'âne.
Il est au milieu d'la route Le stupide aliboron Il est là qui nous écoute Avec sa têt' de cochon Il pouss'ra pas sa barbaque Il est guère accommodant Ah vraiment la tête à claques Ah l'âne de Buridan
Il obstrue la voie publique Avec son vieux char-à-bancs Il comprend pas nos mimiques Nos solides arguments Il a rien dans la caboche Le baudet récalcitrant Il mérit'rait des taloches Il est pas intelligent
Il aurait pu l'imbécile Provoquer des accidents Froisser nos automobiles Déranger les occupants Allons viens vite hue cocotte Par ici t'auras du son Il comprend pas la carotte Il comprend pas le bâton
Surtout faut pas qu'on y touche Il a des plaies sur la peau Avec du sang pour les mouches Du pus pour les asticots Il manqu'rait plus qu'il s'affale Ce serait pas rigolo Le stupide onocéphale Ah le maudit bourricot.
Paroles de Guy Thomas (1986).
Aliboron : 1− Sot personnage qui se croit habile en toutes choses et ne s’y connaît en rien. 2− Personne stupide et prétentieuse.
Ane de Buridan : Le paradoxe de l'âne de Buridan est la légende selon laquelle un âne meurt de faim et de soif entre son picotin d'avoine et son seau d'eau, faute de choisir par quoi commencer.
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On ne peut embrasser que par amour. Si on peut faire l'amour sans aimer la personne avec qui on le fait, on ne peut pas embrasser une personne si on ne l'aime pas. Le baiser est vraiment le geste amoureux par excellence. Si on ne peut pas parler en s'embrassant, le baiser en lui-même impose un silence. La communication verbale est coupée et laisse place à une autre forme de langage. On ne s'embrasse jamais deux fois de la même manière. Le baiser a un caractère nécessairement mutuel, c'est un geste absolument réciproque qui ne peut se faire seul. C'est l'un des très rares gestes de l'existence qui demande à ce que l'on soit deux. Le baiser est un geste qui ne prend sa valeur, sa douceur, sa sensualité que par le désir de l’autre. C'est avant tout un échange des visages d'où se manifeste notre humanité.
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Le Printemps de Prague.
Le Printemps de Prague dure de janvier à août 1968. Sous la direction d'Alexandre Dubček, le parti communiste et le gouvernement tchécoslovaque tentent de libéraliser le système politico-économique qui depuis 1948 a transformé le pays en démocratie populaire. Pour les réformateurs communistes qui sont alors au pouvoir il s'agit de mettre en place un « socialisme à visage humain ». Craignant la contagion de l'exemple tchécoslovaque qui mettrait en danger les fondements de leur pouvoir, les dirigeants communistes des autres pays du bloc de l'Est tentent d'abord de convaincre Dubček de renoncer aux réformes. Puis ils décident d'intervenir militairement. Dans la nuit du 20-21 août 1968, les armées du Pacte de Varsovie, en fait surtout l'armée soviétique, envahissent la Tchécoslovaquie. Cette invasion est une application de ce qui sera appelé la doctrine Brejnev de la « souveraineté limitée ». La résistance des habitants est alors assez faible dans l'immédiat. Sous protection des militaires soviétiques le parti communiste tchécoslovaque est « épuré » de ses éléments réformateurs. En avril 1969, Dubček est remplacé par Gustáv Husák à la tête du parti communiste. Le « retour à la normale » (c’est-à-dire le retour à la domination sans partage des communistes) commence.
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Les deux chauves.
Je dédie « Une nuit sur le Mont Chauve » à deux hommes politiques qui sont devenus chauves. Chaque mensonge provoquait la perte d’un cheveu… « Une nuit sur le mont Chauve » est un poème symphonique écrit par Modeste Moussorgski en 1867. L’histoire : « Les sorcières avaient coutume de se rassembler sur le Mont Chauve. Elles y jouaient des farces et y attendaient leur maître Satan. A son arrivée, elles formaient un cercle autour du trône sur lequel il prenait place, sous l’apparence d’un bouc, et elles chantaient ses louanges. Lorsque Satan avait reçu suffisamment de louanges, il se transformait et donnait l’ordre de commencer le Sabbat, une grande fête démoniaque au cours duquel il choisissait quelques sorcières qui avaient retenu son attention ! »
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